Nicolas Sarkozy, le seul à pouvoir redresser la France

Nicolas Sarkozy

La Primaire de la Droite et du Centre des 20 et 27 novembre prochain est une étape très importante pour notre parti, puisque nous devrons déterminer notre candidat pour la présidentielle de 2017.

Après cinq ans d’échec du quinquennat de François Hollande sur le chômage, l’emploi, la sécurité, la lutte contre la délinquance, la politique pénale, il faudra redresser la France, lui donner un cap, restaurer l’autorité de l’Etat.

La baisse de l’impôt de 10%, la suppression des charges sociales sur les emplois familiaux, les heures supplémentaires défiscalisées permettront aux Français, et surtout les classes moyennes d’avoir à nouveau du pouvoir d’achat, après avoir été matraquées fiscalement par des hausses de 60 milliards d’euros d’impôt depuis 2012.
Les baisses de charges de 34 milliards sur les entreprises, qui pourront décider du temps de travail, favoriseront le redressement de notre pays.
Quant à l’exonération des successions jusqu’à 400 000 euros, comme en Allemagne, c’est une mesure juste et non destinée aux riches, mais à tous les Français.
Lors de son quinquennat, Nicolas Sarkozy avait décidé d’une exonération de 150 000 €, que François Hollande a jugé bon d’abaisser à 100 000.

Adhérent depuis juin 2014, je considère qu’il est le seul à pouvoir remettre la France sur les rails, à la remettre en marche, alors qu’elle recule depuis 2012.

Après avoir voté pour lui en 2007, c’est avec enthousiasme et conviction que je lui ai renouvelé ma confiance en 2012.
Alors adhérent au Nouveau Centre, je n’ai pas oublié son ouverture au Centre en confiant des postes clés à certaines de ses personnalités, telles que François Sauvadet, à la Fonction publique, Hervé Morin à la Défense, Maurice Leroy à la Ville, Michel Mercier à la Justice.

Je n’ai surtout pas oublié ses nombreuses réformes, dont on ne loue pas suffisamment leur efficacité, parmi lesquelles, celles des retraites, le Grand Paris, le Grenelle de l’environnement, le RSA, la restructuration des armées, l’autonomie des universités, la réforme constitutionnelle, la règle d’or pour lutter contre les déficits, et parvenir à l’équilibre de nos finances publiques.

Elles ont été courageuses, et, avec notamment les Investissements d’avenir, ont permis à la France de mieux résister à la crise de 2008 que les autres états européens, tout en sauvant l’épargne des Français. Sa politique a également entraîné une croissance d’1,7% en 2011, un niveau jamais atteint depuis.

Nicolas Sarkozy a pu également débloquer la crise européenne après le rejet de la Traité de Constitution Européenne, en faisant approuver le Traité de Lisbonne, qui donne plus de pouvoir politique à l’Europe.

Dans le cadre de la Présidence de l’Union européenne, unanimement saluée, il a permis d’éviter le conflit entre la Géorgie, les Ossètes du Sud et la Russie.
Il incarnait alors un leadership en Europe, qui a disparu depuis le quinquennat de François Hollande, où la parole de la France ne compte plus, et le couple franco-allemand est déséquilibré.
Preuve de son leadership, Nicolas Sarkozy a été le premier à dénoncer la crise de Schengen, et à proposer un nouveau traité, afin de refonder le projet européen.

Depuis son élection à la présidence de notre famille politique, nous avons remporté successivement les élections municipales, les Départementales, les Sénatoriales et les Régionales, preuve que malgré ce que disent certains politologues, commentateurs, que son retour est un succès. Ces victoires électorales ont permis d’amorcer l’indispensable reconquête des territoires, en vue de la Présidentielle .

Il a su remettre de l’ordre alors que le parti était miné par les querelles internes, redonner de la fierté aux militants d’y appartenir, rétablir l’équilibre des comptes. Si, aujourd’hui Les Républicains sont le premier parti de France avec 275 000 adhérents, c’est grâce à son travail.
De plus, après la présidence assurée par le triumvirat Fillon – Raffarin – Juppé, suite au départ de Jean-François Copé, il a réussi à incarner l’opposition à gauche, à rendre crédible notre parti dans l’opinion publique.

En tant que Président du parti, Nicolas Sarkozy a tenu à faire participer les adhérents au projet. Ils ont ainsi pu voter sur les propositions émanant des conventions thématiques. Par ailleurs, ils l’ont majoritairement adopté au Conseil national du 2 juillet dernier.

Face à la menace terroriste, ses propositions sur la sécurité ont été reprises par François Hollande dans son Pacte de sécurité, ce qui montre qu’il est un leader, et un visionnaire sur ces questions.

Pour remporter la Présidentielle de 2017, Les Républicains devront avoir un candidat avec de l’expérience, une stature d’homme d’Etat, qui a su réformer, qui a du courage, du dynamisme, de l’énergie et une vision politique.
Pour moi, il est le seul des candidats à la Primaire à incarner ces qualités, d’où mon soutien indéfectible à sa candidature.

Pour une unité de la majorité présidentielle en 2012

 

En renonçant à maintenir sa candidature à la présidentielle, Hervé Morin a fait preuve de sagesse et de responsabilité en constatant qu’il ne pourrait récolter les 500 parrainages pour concourir au scrutin.

En 2007, nous avions choisi de soutenir Nicolas Sarkozy, le plus à même d’accomplir les réformes dont la France avait besoin et nous avions décidé d’incarner un centrisme de majorité et non d’opposition, un centrisme d’humanisme au sein de la majorité présidentielle pour qu’elle marche sur ses deux jambes.

 

Nicolas Sarkozy s’est montré ouvert aux centristes en nommant à des postes clés Hervé Morin, notre président, mais également Christian Blanc, André Santini, Valérie Létard, et plus récemment François Sauvadet et Maurice Leroy. Au cours du quinquennat des gouvernements du premier ministre François Fillon, nous avons participé à l’action du gouvernement pour porter nos valeurs, porté et adopté des réformes majeures : la réforme des retraites, le Grand Paris, le Grenelle de l’environnement, le RSA, la restructuration des armées, l’autonomie des universités, la réforme constitutionnelle.

 

Attachés à lutter contre les déficits via une règle d’or, le chef de l’État a repris notre proposition de l’inscrire dans la constitution en prenant un engagement de retour à l’équilibre de nos finances publiques.

 

Volontariste, le président a accompli une grande présidence de l’Union européenne permettant de régler la crise géorgienne et a lancé les plans de relance pour faire face à la crise tout en développement les investissements d’avenir. Parce que nous avons fait en 2007 le choix de l’action et non de l’opposition, fait valoir nos idees, il faudra, au congrès du Nouveau Centre du 25 février de Nogent-sur-Marne, être responsables pour 2012.

 

Passer de la majorité à l’opposition serait une grave erreur pour notre famille, une faute politique majeure.
Face à l’actuelle crise financière et économique, un taux de chômage le plus important depuis douze ans, la perte du triple A, nous devons être responsables, rassemblés au sein de la majorité.

Nous devons choisir la clarté, la continuité, en soutenant dès le premier tour Nicolas Sarkozy, afin de poursuivre ensemble un nouveau quinquennat de reformes et en faisant entendre nos valeurs humanistes, libérales et sociales, décentralisatrices et européennes.

 

La maîtrise des finances publiques inscrite dans la constitution

 

Le 12 janvier, Nicolas Sarkozy a annoncé lors de ses voeux aux parlementaires sa volonté d’inscrire dans la constitution la maîtrise des finances publiques :  » Il est de notre responsabilité collective de ne pas rejeter sur les générations futures la charge de notre dette », a-t-il ajouté en estimant qu’un consensus était possible « sur un sujet de cette importance, dans un pays qui présente depuis le milieu des années 1970 un budget en déficit ».  Le gouvernement Raymond Barre, est le dernier à avoir voté un budget à l’équilibre, en 1980.

Le  groupe Nouveau Centre, très attaché à la réduction de la dette,  porte depuis le début de la législature l’inscription dans le marbre de la Constitution d’une « règle d’or », comme l’ont fait les Allemands, qui interdirait le vote en déficit des lois de finances de l’Etat et de la Sécurité Sociale, avec des exceptions en cas de récession ou de circonstances exceptionnelles. Dépositaire en 2008 d’une proposition de loi relative au retour à l’équilibre des finances publiques ,  François Sauvadet, Président du groupe Nouveau Centre, et les députés du groupe se sont félicités de la décision du Président de la République.