Pour une unité de la majorité présidentielle en 2012

 

En renonçant à maintenir sa candidature à la présidentielle, Hervé Morin a fait preuve de sagesse et de responsabilité en constatant qu’il ne pourrait récolter les 500 parrainages pour concourir au scrutin.

En 2007, nous avions choisi de soutenir Nicolas Sarkozy, le plus à même d’accomplir les réformes dont la France avait besoin et nous avions décidé d’incarner un centrisme de majorité et non d’opposition, un centrisme d’humanisme au sein de la majorité présidentielle pour qu’elle marche sur ses deux jambes.

 

Nicolas Sarkozy s’est montré ouvert aux centristes en nommant à des postes clés Hervé Morin, notre président, mais également Christian Blanc, André Santini, Valérie Létard, et plus récemment François Sauvadet et Maurice Leroy. Au cours du quinquennat des gouvernements du premier ministre François Fillon, nous avons participé à l’action du gouvernement pour porter nos valeurs, porté et adopté des réformes majeures : la réforme des retraites, le Grand Paris, le Grenelle de l’environnement, le RSA, la restructuration des armées, l’autonomie des universités, la réforme constitutionnelle.

 

Attachés à lutter contre les déficits via une règle d’or, le chef de l’État a repris notre proposition de l’inscrire dans la constitution en prenant un engagement de retour à l’équilibre de nos finances publiques.

 

Volontariste, le président a accompli une grande présidence de l’Union européenne permettant de régler la crise géorgienne et a lancé les plans de relance pour faire face à la crise tout en développement les investissements d’avenir. Parce que nous avons fait en 2007 le choix de l’action et non de l’opposition, fait valoir nos idees, il faudra, au congrès du Nouveau Centre du 25 février de Nogent-sur-Marne, être responsables pour 2012.

 

Passer de la majorité à l’opposition serait une grave erreur pour notre famille, une faute politique majeure.
Face à l’actuelle crise financière et économique, un taux de chômage le plus important depuis douze ans, la perte du triple A, nous devons être responsables, rassemblés au sein de la majorité.

Nous devons choisir la clarté, la continuité, en soutenant dès le premier tour Nicolas Sarkozy, afin de poursuivre ensemble un nouveau quinquennat de reformes et en faisant entendre nos valeurs humanistes, libérales et sociales, décentralisatrices et européennes.

 

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